Le capitalisme, c’est l’anarchie de la production, le gaspillage et la recherche du profit maximum. A l’inverse nous luttons pour une libération des forces productives dans l’intérêt de tous, y compris la préservation de l’environnement rendant la vie possible à l’espèce humaine.
L’écologie bourgeoise, qui consiste à criminaliser les pays du sud et aggraver l’exploitation des travailleurs, sans jamais pointer les responsabilités du capitalisme (et non de « l’homme » en général) dans les bouleversements environnementaux actuels, doit être combattue.
Pourtant, une écologie réelle a existé, en URSS, et existe toujours, à tous les niveaux, dans les pays qui sortent du système capitaliste-impérialiste : La Chine, Cuba en particulier sont à l’avant-garde dans les domaines d’avenir : agroécologie, lutte planifiée contre le réchauffement climatique, conservation de la biodiversité. Autant de conquêtes dont les médias bourgeois ne parlent jamais ici, et pour cause. Les révolutions socialistes se départissent des idéologies réactionnaires et passéistes pour s’attaquer concrètement aux grands enjeux environnementaux, conditions de l’avenir de l’Humanité.